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Département info com
IUT de Besançon

La filière Information–Communication forme de futurs professionnels compétents dans les univers stratégiques, opérationnels et créatifs de l’information et de la communication.

Travail de création graphique

BUT Information Communication

Envie d’un métier dans le domaine de la communication et des médias ? Allier théorie et pratique pour répondre aux besoins des entreprises ? Évoluer dans une formation à taille humaine et être bien encadré par des enseignants, enseignants chercheurs et des professionnels ?

Modalité de formation

Le B.U.T. Information communication forme en 3 ans des étudiants prêts à accéder à des métiers variés, ou qui feront le choix de poursuivre leurs études. Ici, la vie professionnelle est directement intégrée à la formation : stages chaque année, projets tutorés, apprentissage en 2e et / ou 3e année, projets personnels et professionnels, challenges…

 

Nos atouts

 

Quel que soit le parcours choisi, le B.U.T. Information communication permet de développer ses compétences et connaissances pour décrypter et communiquer l’information.

• apprentissage des théories et modèles des sciences de l’information et de la communication
• analyse du monde contemporain grâce aux sciences humaines et sociales
• compréhension du droit de l’Information communication et de l’économie
• maîtrise de la langue française et de deux langues vivantes
• initiation et développement des techniques de créativité
• déploiement de stratégies de communication
• maîtrise de logiciels de PAO, outils numériques et audiovisuels

semaines de stages
0
intervenants pro.
0

2 parcours

Pub
Marketing & publicité
Créativité
Publicité
Communication visuelle
Campagne marketing
Stratégie de communication
LE TOP !
Comm. des organisations
Communication & RP
Stratégie de communication
Relation presse
Rédaction & conception
Pratiques du numérique
Super études. Bonne préparation à la vie professionnelle.
John Doe
2016-2018
Des challenges motivants et ambitieux, mais parfois trop !
Jane Doe
2017-2019
Très bonne formation, aucun regret sur mon choix post bac.
Victor
2019-2021

Etudiant-e en Info Com

© 2025 IUT Information-Communication de Montreval — Département Communication des Organisations.

Tous droits réservés. Ce site a été conçu, rédigé et mis en forme par les étudiant·e·s du département dans le cadre d’un projet tutoré visant à valoriser les activités, formations et productions du cursus Info-Comm.

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+ infos

TATE MUSEUM

Londres est une ville qui ne dort jamais, pleine de vie, d’histoire et de contrastes. Entre ses bâtiments victoriens et ses gratte-ciels ultra modernes, elle cache aussi des lieux où l’art prend toute la place. Parmi eux, le Tate Modern est sans doute l’un des plus fascinants. Installé dans une ancienne centrale électrique sur les rives de la Tamise, ce musée emblématique est devenu un symbole de la créativité contemporaine. On y vient pour être surpris, dérouté parfois, mais surtout inspiré. Le Tate Modern n’est pas un simple musée : c’est une expérience, un voyage à travers les formes les plus audacieuses de l’art du XXᵉ siècle à aujourd’hui.

Ce qui frappe d’abord quand on arrive au Tate Modern, ce n’est même pas l’art à l’intérieur — c’est le bâtiment lui-même. Impossible de le manquer : une immense structure de brique brune qui se dresse fièrement sur la rive sud de la Tamise. Avant d’être un musée, c’était une centrale électrique, la Bankside Power Station, construite dans les années 1950. Et plutôt que de tout détruire, les architectes Herzog & de Meuron ont eu la brillante idée de conserver l’âme industrielle du lieu.

À l’intérieur, on retrouve cette ambiance brute : de grands volumes, des murs de béton, des poutres métalliques, une lumière naturelle filtrée par d’immenses baies vitrées… La Turbine Hall, gigantesque nef centrale, en est le cœur : un espace monumental où sont souvent exposées des œuvres colossales. On s’y sent minuscule — et c’est justement ce que le musée cherche à provoquer.

PRINCIPALES FORMES D'ART

Art abstrait

L’art abstrait est un art qui ne tente pas de représenter une représentation précise d’une réalité visuelle

Cubisme

Le cubisme était une nouvelle approche révolutionnaire pour représenter la réalité inventée vers 1907-2008 par les artistes Pablo Picasso

Modernisme

Le modernisme fait référence à un mouvement mondial dans la société et la culture qui, dès les premières décennies du XXe siècle, a cherché un nouvel alignement avec l’expérience et les valeurs de la vie industrielle moderne

Art pop

Le pop art est un mouvement artistique qui a émergé dans les années 1950 et qui a prospéré dans les années 1960 en Amérique et en Grande-Bretagne, s’inspirant de sources de la culture populaire et commerciale

Maman - Louise Bourgeois

Impossible d’oublier cette œuvre : une araignée en métal haute de plus de dix mètres, dressée devant le Tate Modern comme une gardienne silencieuse. Son nom ? Maman, créée par l’artiste Louise Bourgeois. À la fois monumentale et délicate, cette sculpture en bronze et en acier rend hommage à la mère de l’artiste, tisserande de son vivant. L’araignée, symbole de protection mais aussi de peur, incarne la complexité des liens familiaux. Sous ses pattes immenses, on se sent à la fois petit et étrangement rassuré. C’est une œuvre qui ne laisse personne indifférent — et qui résume à merveille le pouvoir émotionnel de l’art contemporain.

En 2006, le Tate Modern a littéralement transformé son hall principal en terrain de jeu géant. L’artiste Carsten Höller y a installé Test Site : d’immenses toboggans en acier descendant en spirale depuis les étages supérieurs du musée jusqu’au rez-de-chaussée. Mais derrière le fun, il y avait une vraie réflexion : comment le jeu peut-il redéfinir notre rapport à l’art et à l’espace ? Les visiteurs pouvaient glisser eux-mêmes, ressentir la vitesse, la peur et le rire mêlés — une expérience physique autant qu’esthétique. C’était l’art qu’on ne regarde plus, mais qu’on vit.

En 2003, le Tate Modern a accueilli l’une de ses expositions les plus mythiques : The Weather Project d’Olafur Eliasson. En entrant dans la Turbine Hall, les visiteurs découvraient un soleil géant suspendu au plafond, baignant l’espace d’une lumière dorée et brumeuse. Le tout était créé à partir de simples lampes monofréquences et de miroirs. Les gens s’allongeaient au sol, contemplaient leur reflet infini et prenaient le temps — littéralement — de se perdre dans cette illusion lumineuse. Une œuvre immersive, presque spirituelle, qui faisait réfléchir sur notre lien avec la nature et la perception du temps.